Pillages et meurtres. Que les portes ploient et que les murailles cèdent ; que la pluie ne puisse effacer la cendre et que le sang ne soit plus une offrande. Leur briques fauves retrouvent leur pourpre, le sol se fait liquide, toute étoffe redevient noire, l’ombre transformée, meurtrière. La chair des arbres est putride, la guerre est le ciel, et l’océan est une foule. L’incendie progresse ; feu, le corps du peuple. La volonté de ces gens, nous la plierons au joug de l’esclavage. Pris dans les rets de la dissension, le courage ne veut plus de modération. L’étranger s’empare de la terre et nous fait ennemis ; le frère attaque le frère et le sang se repaît de son sang