On n'a pas pris la peine de se rassembler un peu, avant que le temps prenne nos envies et nos v?ux. Les images, les querelles du passe rancunier ont forge nos armures, nos c?urs se sont scelles. Rester seuls dans son coin nos demons animes, perdus dans nos dessins sans couleur, gris fonce On aurait pu choisir le pardon, Essayer Une autre histoire d'avenir que de vouloir oublier. Prenons-nous la main, le long de la route. Choisissons nos destins sans plus aucun doute, J'ai foi et ce n'est rien qu'une question d'ecoute, d'ouvrir grand nos petites mains coute que coute On n'a pas pris la peine de se parler de nous, nos fiertes tout devant sans pouvoir s'mettre a genoux, dans nos yeux transparents, le mensonge sur nos dents, impossible de le nier tout le corps l'revelait (refrain) Prenons nous la main, le long de la route. laisser vivre la vie, glisser sans retenir Mais les mots ne sont que des mots pas les plus importants. On y met nos sens propres qui changent au gre des gens. C'est con, ce qu'on peut etre con a se cacher de soi-meme, C'est con, ce qu'on peut etre con car l'autre n'est que l'reflet de ce qu'on s'met a couvert. Si nos schemas encres veulent bien n'pas nos figer C'est le debut de nos reves qui tendent a se confirmer. C'est con, ce qu'on peut etre con a se cacher de soi-meme, C'est con, ce qu'on peut etre con car l'autre n'est que l'reflet de ce qu'on s'met a couvert.