À mort les masques de la pellicule Les foires, les bêtes abjectes Les rires mendiants, les jambes ouvertes Les chercheurs d'or qu'on les brûle ! (Refrain) C'est la course des rats La guerre pour un morceau de cinéma Se calmeront-elles un jour ces pleureuses Qu'on leur donne au moins de vraies larmes ! Et ces pauvres moines, la faim les décharne, Quelle destinée miséreuse ! (Refrain) Et oui, un jour, ils n'auront plus 20 ans Mais leurs os voudront toujours danser Hélas, ils persistent, ils n'arrêteront jamais Ah, quelle énergie mes enfants !