« Il ne nous reste pas d'option intéressante. Par conséquent, on se voit dans l'obligation de faire des mises à pied. Peut-être deux, peut-être trois à quatre cents employés, sans quoi nous devrons envisager une fermeture définitive. » « La crise étant ce qu'elle est et ce qu'on croit qu'elle sera, il serait idiot de ne pas limiter, au mieux, les dégâts et c'est peut-être temporaire, qu'une question de mois. L'émoi que vous cause la nouvelle n'est-il pas moindre que celui d'une fermeture définitive? » Étrange comme ceux qui appellent aux compromis soient incapables d'y répondre eux-mêmes... « Faire des mises à pied. Peut-être deux, peut-être trois à quatre cents employés. L'émoi que vous cause la nouvelle n'est-il pas moindre que celui d'une fermeture définitive? »