Autrement dit le foyer est ruiné Je lis entre tes lèvres qu'il n y a plus de sursis Qu'une lourde peine À quoi l'on joue et à quoi ça rime Si chaque jour sur tes joues coule le rimmel Si chaque nuit, je manque à l'appel Je suis parti pour perdre encore quelques années À tout casser j'aurais gagné ton mépris Je suis parti pour perdre quelques années À tout casser j'aurais gagné ton mépris Avec rien dans les poches je parie sur le carreau Et me couche sur du noir, sûr la chance me fait défaut De fausses joies, de faux espoirs Des fautes, de faux jetons Je racle les fonds de tiroirs Et je tourne mes talons Je suis parti pour perdre encore quelques années À tout casser j'aurais gagné ton mépris Je suis parti pour perdre quelques années À tout casser j'aurais gagné ton mépris Et je n'ai plus la main...