"Je suis une femme du Liberia" dit-elle "Je vais te donner de l'eau dans mes mains" dit-elle Oh, oh, oh Et l'eau dansait comme le ciel dans ses prunelles Belle, belle J'étais fatigué, j'avais la gorge sèche Mais j'ai bu dedans ses mains de l'eau douce et fraîche Oh, oh, oh Mais ce n'est pas de l'eau de pluie, ça, dis, ma belle Belle, belle Je lui ai dit "Femme du Liberia, Où trouves-tu de l'eau si surnaturelle ? Oh, oh, dis, où la trouves-tu, cette eau si claire Et si belle, belle ?" "Du haut des montagnes des neiges éternelles Elle vient doucement jusqu'ici" me dit-elle, belle "Oh, oh, douce, douce est l'eau de mon puits, oui" Disait-elle, belle "Du haut des montagnes des neiges éternelles Le Seigneur nous l'envoie comme à tous ses fidèles" Belle "Oh, oh, douce, douce est l'eau de mon puits, oui" Disait-elle, belle "Au bord du torrent dont l'écume étincelle Ça abreuve l'olivier comme la tourterelle Oh, oh, douce, douce est l'eau de mon puits, oui" Disait-elle, belle "Mais regarde là-haut, la cascade étincelle Et le lion vient y boire ainsi que la gazelle, belle Oh, oh, douce, douce est l'eau de mon puits, oui" Disait-elle, belle, belle "Le sol est brûlant, la chaleur est mortelle Mais je bois dans tes mains comme dans une écuelle, belle" Oh, oh, douce, douce est l'eau de mon puits, oui Disait-elle, belle Je lui ai dit "Femme du Liberia Où trouves-tu de l'eau si surnaturelle ? Oh, oh, dis, où la trouves-tu cette eau si claire Et si belle, belle, belle ? Le sol est brûlant, la chaleur est mortelle Mais je puise en tes mains comme une vie nouvelle, Belle" Oh, oh, douce, douce est l'eau de mon puits, oui Disait-elle, belle, belle De mon puits, oui Disait-elle, belle, belle De mon puits, oui Disait-elle Waaadeee Waaahahaa