Pour tous les sales tours du destin Qui jouent avec nos rêves, Pour la folie qui nous encrasse Tout ce qui nous dépasse, Y a aussi un enfant qui dort Les soirs de septembre, Ton regard qui vaut plus que l'or Et force un peu la chance. Pour un avion qui fait la chasse À un oiseau qui passe, Les hauts, les bas de nos amours Les ballons que l'on crève, Y a aussi des soleils d'hiver, Ton front sur la vitre Et, quelque part dans l'univers Une boite à musique. Attendez, Attendez ! Cours plus vite ! Le métro n'attend pas. Attendez, j'ai payé ! C'est trop tard. Le métro est passé...