D'on ne sait quel azur parties Avec des haleines de mai De fraternelles sympathies Voyagent dans l'air parfumé {x2} Les rêveurs et les jeunes femmes Sentent parfois en ces beaux jours Aux marches blanches de leurs âmes Monter d'invisibles amours {x2} D'on ne sait quel regard venues Entre des rires et des pleurs Ce sont des lèvres inconnues S'ouvrant à leurs lèvres en fleurs {x2} Et le charme en est si vivace Si doux que leur front rajeuni De cette caresse qui passe Garde des rêves infinis {x2}